L'histoire de l'industrie de la bonneterie - le développement de l'industrie de la bonneterie moderne

Le développement de l’industrie chinoise du tricot a commencé dès le début de la bonneterie. L'industrie de la bonneterie appartient à la catégorie de l'industrie du tricot. Dans le passé, la bonneterie n’existait pas en Chine. A cette époque, les Chinois portaient des chaussettes en tissu. Depuis 1879, les tricots occidentaux ont été importés en Chine et en ont été affectés. Chez certains importateurs côtiers, des entreprises de tricotage ont été créées. "La fin de la dynastie Qing, l'aigle allemand Kylin et d'autres marques de sweat-shirts et de pantalons, sont vendus dans les ports côtiers, les gens apprécient, augmentent d'année en année, et le danger est également grand, donc les gens enthousiastes, et démarrer l'usine. L'industrie chinoise de la bonneterie a commencé à se développer. La machine à chaussettes qui a été promue à Shanghai par des pays étrangers est la première machine à bonneterie en Chine et le symbole du début de l'industrie de la bonneterie à Shanghai. Quelques années plus tard, grâce à l'introduction de la machine à chaussettes électrique, une usine de tricotage électrique a été officiellement lancée. La première usine de Shanghai à utiliser la machine à chaussettes électrique fut la Jingxing Knitting Factory, « pour l'industrie du tricot ». A cette époque, il existait également une usine spécialisée dans la fabrication de machines à chaussettes. Les machines à chaussettes produites étaient beaucoup moins chères que les machines à chaussettes importées. Chaque ensemble ne coûtait qu'une douzaine de yuans et a été rapidement reconnu par le marché. Nanhui, Songjiang, Wuxi, Suzhou, Hangzhou, Lanshi, Pinghu et Jiaxing ont également introduit de telles machines à chaussettes en grand nombre, ce qui a rapidement popularisé l'industrie de la bonneterie fabriquée à la main dans ces endroits. En conséquence, il existe dans le pays une industrie mécanique qui utilise des chaussettes et des bas électriques, représentée par Shanghai, et deux grandes catégories d'ateliers fabriqués à la main qui utilisent des bas à manivelle, représentés par Nanhui, Wuxi, Lanshi et Pinghu. . L'industrie de la bonneterie est devenue une industrie « amphibie » à plusieurs niveaux.

Après l'incident du 18 septembre, avec l'essor de l'industrie nationale, le développement rapide de l'industrie de la bonneterie a été favorisé. Certaines grandes villes de la côte comptent déjà plus de 1 000 entreprises de tricot et de bonneterie, dont seulement 600 rien qu'à Shanghai. Il y a aussi des Juifs qui ouvrent des usines de chaussettes à petites manches à Shanghai et utilisent la machine à chaussettes Koden importée pour produire des bas longs pour femmes. La qualité et le prix sont plus élevés sur le marché.

Avant la libération, à cause de la guerre, l'industrie de la bonneterie, comme d'autres industries du tricot, a subi des revers et l'industrie était au plus bas. Après la fondation de la République populaire de Chine, le redressement et la revitalisation ont repris. En particulier, grâce au camp d'automne commun, un groupe d'entreprises de bonneterie s'est véritablement engagé sur la voie d'un développement et d'une échelle normalisés par le biais de fusions, de fusions et de transformations.

De l'industrie de la bonneterie aux années 1920 et 1930, la popularité des machines à fabriquer des chaussettes domestiques et la navigation sur le fleuve Yangtze en 1925 au cours des dernières décennies ont conduit à une forte augmentation des ventes de chaussettes, et l'industrie de la bonneterie s'est considérablement développée et entre dans une période prospère. La région de Jiangnan constitue une zone centrale de l'industrie de la bonneterie centrée sur Shanghai. Selon les statistiques, le nombre de grandes usines de chaussettes à Shanghai est passé de 20 en 1921 à plus de 130 en 1929. À cette époque, l'usine de bonneterie de Wuxi a atteint 37 et l'industrie de la bonneterie s'est développée à Nanhui, Pinghu et Lanshi. Il a également atteint son apogée.

1. L’industrie de la bonneterie centrée sur Shanghai

Aperçu du développement de Shanghai Hosiery

L'industrie du tricot à Shanghai a commencé plus tôt, juste derrière l'industrie textile de la soie et du coton. Au cours de la 22ème année de l'empereur Guangxu Guangxu (1896), la première usine de tricot de Chine a été fondée à Hongkou, Shanghai, et a une histoire de plus de 100 ans. L'usine de tricot s'appelait « Yunzhang Shirts and Socks Factory ». Elle a été fondée par Wu Xiuying, basé à Hangzhou. À cette époque, elle utilisait des machines à bonneterie humaine, des grues à arganier et des machines à coudre fabriquées par les Britanniques et les Allemands pour produire des chaussettes et des sous-vêtements. Au début, il n'existait que quelques chaussettes tissées à la machine, de petite taille et à faible rendement. Plus tard, en raison d'une mauvaise gestion, il fut revendu aux marchands du Guangdong au cours de la 28e année de Guangxu (1902) et rebaptisé Jinglun Shirts Factory (le prédécesseur de Shanghailun Knitting Factory). Ajoutez des machines et commencez à développer des sous-vêtements. Au cours de la 32e année de Guangxu, la création de chemises Guidi, de chemises poivrées et de chemises en brocart est devenue de plus en plus populaire. Au cours de la trente-quatrième année de Guangxu, les chemises ont été exportées à Nanyang et l'histoire des exportations de tricots nationaux a été ouverte pour la première fois. Toutefois, à cette époque, le marché chinois des tricots était encore dominé par les pays britanniques, allemands, américains, japonais et autres. Le fonctionnement de l’industrie nationale du tricot était extrêmement difficile. Au cours des 20 années qui ont suivi la création de l'usine, l'usine de sous-vêtements de Shanghai n'a pas connu de développement.

La création de Jinglun Socks Factory marque le début de l’industrie de la bonneterie artisanale à Shanghai. Selon les archives de la « Petite Industrie de Shanghai » :

Dans l'industrie de la bonneterie, le capital peut être grand ou petit. Par conséquent, dans les provinces du Jiangsu et du Zhejiang, les villes et villages urbains sont presque partout. Il existe plus d’une centaine de machines, et il n’y en a qu’une ou deux. Les produits sont de très mauvaise qualité et les prix sont extrêmement élevés. Ventes, Shanghai est un dépotoir pour les avions cargo étrangers. Si vous souhaitez surmonter les marchandises importées, l'usine de chaussettes à petit capital peut assumer cette responsabilité. Ces dernières années, l'usine chinoise de bas de Shanghai a vu le jour et il y en a plus de 60 au total. Le plus important est la Chine. Une usine de tricot, une usine de chaussettes Hongxing, s'il progresse, et Jiuhe, Anan Wu et Shengde huit autres trois talents à long terme et l'essence Dafeng, et ainsi de suite, trop nombreux pour être mentionnés.

Il existe deux types de machines à bonneterie : les machines électriques à manivelle. Selon la situation actuelle de l'usine de bas de Shanghai, les chaussettes en ligne de tissage sont davantage serrées à la main, les bas sont davantage des machines électriques, les chaussettes sont côtelées et plates et les chaussettes plates fonctionnent plus compliquées. Dix paires de chaussettes côtelées à tissage double brin sont tissées avec quarante-deux lignes doubles brins et quarante-deux ou moins, mais le fil est composé de 19 produits étrangers, de fils nationaux, grossiers, toujours à 60 fils, le fil de produits nationaux de Shanghai Usine, Sunrise fait moins de deux paquets, c'est-à-dire la première usine de tricot chinoise, les chaussettes Sunrise Line comptent 1 800 hits, et les soixante lignes et douze paquets sont nécessaires. La différence est loin. soupir.

Procédure de tissage des chaussettes, 1 shaker 2 fils inversés 3 bonneterie 4 inspection 5 tête de couture 6 blanchiment teinture 7 décoration. Tels que la subdivision, il existe 22 types de procédures, la plupart des produits nationaux de la machine à chaussettes, chaque prix de 17 yuans, la machine électrique de ces dernières années peut également être fabriquée par soi-même, mais l'aiguille utilisée dans la machine, Shanghai Bien que il existe de l'ingéniosité et deux usines de machines spécialisées dans la fabrication et la vente, mais l'utilisation du tissage de bas, comme les aiguilles utilisées pour tisser des bas, n'est toujours pas une marchandise étrangère.

Dans les premières années de la République de Chine, la première usine de Shanghai à utiliser des machines à bonneterie électriques, l'usine de tricotage Jingxing, est devenue à l'origine de l'industrie du tricotage automobile. Au cours de la première année de la République de Chine (1912), la première usine professionnelle de chaussettes à manivelle à Shanghai, Ketai Socks Factory, a été créée. L'année suivante, Jinxing Socks Factory a introduit pour la première fois la machine à chaussettes électriques dans les pays étrangers et est devenue la première usine de chaussettes à moteur à Shanghai. Après le déclenchement de la Première Guerre mondiale, les importations de bas ont fortement chuté. À cette époque, la machine à chaussettes produite dans le pays a été testée avec succès et l'usine de chaussettes s'est développée. Au cours de la 5ème année de la République de Chine, l'usine de chaussettes et de chaussettes de Shanghai compte désormais plus de 70 entreprises. Au cours de la 8ème année de la République de Chine, l'Association des chaussettes Huashang a été créée et compte plus de 50 usines membres. Parmi elles, la plus grande usine de tricotage n°1 de Chine (maintenant la première usine de tricotage de coton de Chine) compte un total de 270 machines à chaussettes en forme de K et en forme de B.

À l 'heure actuelle, Shanghai dispose déjà d' un magasin spécialisé dans les chaussettes. Le magasin de chemises Nanyang était à l'origine un stand de chaussettes situé sur Guangdong Road, spécialisé dans les bas en bambou blanc à l'ancienne. En 1916, il se lance dans une entreprise, principalement engagée dans le tricot de bas, nommée Nanyang Socks Factory, et produit des chemises à haute teneur en fil, des chemises en coton à double fil et des chaussettes plates à double fil sous la marque « Island Brand ». En 1927, l'usine de chaussettes Nanyang a été ajoutée à Nanjing Road. En 1955, l'ancienne route de Guangdong Road dans l'usine de chaussettes de Nanyang a été fusionnée avec le sud et l'année suivante a été rebaptisée Nanyang Shirts Store.

Après 1914, en raison du déclenchement de la Première Guerre mondiale, la source des produits étrangers a été bloquée et l'usine de chaussettes a ouvert ses portes « comme les pousses de bambou de printemps, et la concurrence positive, la production est devenue de plus en plus raffinée, et l'usine de chaussettes développé plus rapidement ». Selon les statistiques, le nombre de grandes usines de chaussettes à Shanghai est passé de 20 en 1921 à plus de 130 en 1929. La rapidité du développement est évidente. En 1935, il y avait plus de 30 usines de chaussettes pour moteurs à Shanghai.

Après la fabrication réussie de la machine à chaussettes électrique domestique au cours des 18 années qui ont suivi l'avènement de la République de Chine, l'usine de chaussettes à moteur s'est développée rapidement et a coexisté avec l'usine de chaussettes à main. Il existe également de petites usines dotées d’usines omnipotentes et de processus uniques. Au cours de la 16ème année de la République de Chine, l'Association des chaussettes Huashang a été réorganisée en Association du tricot et compte plus de 200 usines membres de l'industrie du tricot, ce qui marque la grande envergure de l'industrie du tricot de Shanghai.

Au cours de la 20e année de la République de Chine, le mouvement national de salut national anti-japonais s'est développé, boycottant les produits japonais, promouvant les produits nationaux et l'industrie nationale du tricot s'est développée davantage. Au cours des 25 années de la République de Chine, il y avait des usines de sous-vêtements polyvalentes telles que Zhongnan, Guohua, Fuhua et Huifu, et des usines de tissage (tissage et confection) telles que Chengfeng, Linsen et Yansheng, Hualun, Kunyuan, Xiangsheng, Youyi. , etc. Des usines de tissage uniques, Huachang, Zhongxing, Yixing, Xinyu, Yingyin et d'autres usines uniques ont été créées. L'usine polyvalente de sous-vêtements tricotés de Shanghai compte désormais 22 entreprises. La variété des chaussettes a évolué depuis les chaussettes en fil général jusqu'aux chaussettes en jacquard de rayonne, en passant par les chaussettes en chanvre à fil élevé, les chaussettes au-dessus du genou pour femmes, les chaussettes à bouche fleurie et les chaussettes en laine, qui ont changé le marché des chaussettes importées.

Lors de la guerre anti-japonaise du 13 août de la 26e année de la République de Chine, Wuhe, Linsen, Xiangsheng, Guohua, Zhongnan, Kangfu et d'autres usines situées à Hongkou, Zhabei et Nanshi ont été détruites par l'artillerie japonaise. L'industrie du tricot a migré vers la concession, déclenchant un point culminant de construction, Jingfu, Gonghe, Hongsheng, Fuqiang et d'autres usines ont été créées, plus de 100 usines de sous-vêtements tricotés ; L'usine de chaussettes a augmenté le bien-être public, Meifeng, Yukang, Tianyi, Jiuhua et autres plus de 30. L'usine de chaussettes Wuxi Zhonghua a également emménagé dans la concession de Shanghai à cette époque. La plupart des usines ont réalisé des bénéfices grâce à l'expansion des ventes à l'exportation des commerçants de Nanyang.

Le 8 décembre, en République de Chine, la guerre du Pacifique éclate et les exportations sont interrompues. Les ventes intérieures ont également été limitées par l'électricité et les matières premières, et la production dans l'ensemble du secteur a diminué. Au cours de la 32e année de la République de Chine, la marionnette japonaise a promulgué le « Règlement provisoire sur l'acquisition de fils de coton ». L'Association Commerciale et Commerciale a acheté la gaze pour 1/4 du prix du marché. L'industrie du tricot de Shanghai a été acquise par la société japonaise Puppet pour 160 tonnes de divers types de fils de coton. La plupart des usines sont comprimées et le volume de production et de vente a fortement chuté. À cette époque, l'usine de tricot n°1 de Chine a déménagé à l'usine Shenxin Nine, et l'usine Jinglun a déplacé l'usine de fils Hengtong pour prendre le fil sur place et la production a continué.

Après la victoire de la guerre de résistance contre l'agression japonaise au cours de la 34e année de la République de Chine, l'usine nippo-coréenne de Kangtai a été acceptée par le ministère des Affaires économiques du gouvernement national et rebaptisée Shanghai First Knitting Factory of China Textile Construction. Société. Les usines privées de tricot ont repris le travail. Meifeng, Yongda, Yunming et d'autres usines de chaussettes ont été créées. Au cours des 37 années de la République de Chine, le nombre d'usines de chaussettes a atteint 780, soit une augmentation de 146 par rapport à la 34e année de la République de Chine. Cependant, la guerre civile s'est rapidement intensifiée, l'inflation et les fils à tricoter ont été limités par les quotas des entreprises chinoises de construction textile. La plupart des usines ont été contraintes de réduire leur production et la production de tricot de Shanghai a généralement eu tendance à dépérir.

Parmi ces usines de chaussettes, il n'y a que quelques entreprises individuelles et la plupart des usines de chaussettes adoptent un système d'actionnariat. Les moyens spécifiques de lever des capitaux sont généralement choisis par des personnes qui connaissent bien l'industrie des chaussettes ou qui souhaitent devenir gestionnaires. La personne s'est d'abord rendue chez A pour lui dire qu'elle voulait organiser une usine, l'a invité à devenir actionnaire, puis s'est rendue chez B pour lui dire qu'elle était déjà entrée dans l'actionnariat et a fait la même demande pour B. Puis il est allé à Bingding pour faire le même lobbying jusqu'à ce qu'il atteigne le dixième. Le stock, soit 12 actions, atteindra le capital nécessaire à la construction de l'usine.

En 1932, le capital total des 21 usines de chaussettes de Shanghai était de 1 877 766 yuans, et le capital moyen de chaque usine de chaussettes était de 894,17 yuans. 4 yuans. La plus grande capitale est l'usine de tissage de Huachun, avec 559 441 yuans. La plus petite capitale est l'usine Sancai. Avec un capital de 5 000 yuans, même si le capital est le moindre, l'usine de chaussettes dispose de 24 machines à chaussettes électriques, 6 voitures nervurées, 2 machines à coudre, 1 voiture à filer et 2 machines à filer.

Selon les archives, l'industrie de la bonneterie à Nanhui a commencé en 1912 et a connu son apogée entre 1919 et 1926. Au cours de ces sept années, « les banlieues urbaines et rurales, l'usine de chaussettes étaient debout, le bruit de la machine était le même, et c'était très populaire », de 1927. En 1933, l'industrie de la bonneterie commença à décliner. "La situation n'est pas bonne, la crise financière est tendue, l'économie rurale est de plus en plus ruinée, le pouvoir d'achat est faible et l'usine de bonneterie annonce l'arrêt en raison des pertes. Il est temps de sentir." En 1933, Nanhui comptait encore 48 grandes usines de chaussettes. Parmi elles, le nombre d'usines de chaussettes en propriété exclusive était le plus important, avec 32, et les 16 usines de chaussettes restantes étaient de nature partenariat.

En 1949, Shanghai a été libérée et l'Association de gestion militaire municipale a repris le capital bureaucratique de la China Textile Corporation Shanghai No. 1 Knitting Factory et a changé son nom en Shanghai Knitting Factory, propriété de l'État. À cette époque, il y avait 831 industries de chaussettes à Shanghai, dont 17 ont toutes démarré et 298 ont démarré partiellement, avec un taux de travail de 37%. À partir de la seconde moitié des années 1950, les entreprises publiques traitèrent les commandes des usines de tricotage et la Banque nationale accorda des prêts aux ménages en difficulté. Dans l'industrie des sous-vêtements, des chaussettes et des gants, une coentreprise a été créée en 1951 et la production de l'entreprise s'est progressivement améliorée. À cette époque, un certain nombre d’usines de tricot privées se sont ajoutées.

En 1954, les usines de chaussettes d'Everbright, Datong et Hongxing ont pris l'initiative de mettre en œuvre des partenariats public-privé. L'usine de tissage de coton de Zhenfeng a déménagé dans la ville de Hefei, dans la province d'Anhui, et est devenue la première entreprise interne de l'industrie textile de Shanghai. En janvier 1956, 1 517 entreprises privées de l'ensemble de l'industrie ont mis en place des partenariats public-privé, dont 787 dans l'industrie des chaussettes. Le 19 novembre, Shanghai Sous-vêtements Weaving Industry Co., Ltd. (rebaptisée Shanghai Knitting Sous-vêtements Industry Co., Ltd. le 13 décembre) et Shanghai Socks Industry Co., Ltd. ont été créées pour mettre en œuvre une gestion centralisée. En 1957, l'entreprise a divisé les points focaux en usines indépendantes, usines centrales et usines séquestres selon le principe des « mêmes produits, zones similaires, gestion de district et point à face ». À ce stade, la production de chaque usine a commencé à être incluse dans le plan national. Après 1956, plus de 40 usines de tricot ont déménagé sur le continent. En 1959, les entreprises affiliées étaient divisées en 171 usines de tricotage selon le principe de « classification des produits, soutien collaboratif ». Il y a 33 sous-vêtements, 106 chaussettes, 30 gants et 2 machines. En 1962, cinq usines de chaussettes du comté de Nanhui et une usine de chaussettes du comté de Songjiang ont été placées sous la responsabilité de la Shanghai Knitting Industry Company.

À la fin des années 1950, l 'industrie du tricot de Shanghai a généralement mené un mouvement d' innovation technologique. La machine à chaussettes a successivement supprimé la poignée à bascule et l'a développée en semi-automatique et automatisée. La teinture des chaussettes est remplacée par une pâte plate et un type de tambour, et le processus de teinture supprime le pied de biche. En outre, nous avons créé la première et la deuxième usine de machines à tricoter, l'usine de blanchiment d'aiguilles, la deuxième usine de blanchiment d'aiguilles, l'usine de soie de Tongfeng et l'usine de marques de tricot pour fournir des services de soutien et de coopération à l'industrie.

Au début des années 1960, l'usine de chaussettes utilisait généralement des matières premières en fibres chimiques et la production de chaussettes en fibres chimiques a officiellement commencé. En 1961, les bas en nylon et les bas en nylon élastique représentaient 5,21% de la production totale de chaussettes, remplaçant progressivement les chaussettes en fil traditionnel. Des gants commencent également à être fabriqués à partir de matières premières à base de fibres chimiques. Au cours des années 1960, deux usines de machines industrielles se sont développées de la réparation à la fabrication. L'usine n°1 de machines à tricoter de Shanghai (appelée usine de machines) a commencé à utiliser l'ancien corps de la machine K-sock pour être transformé en une machine à chaussettes à broder de type 51. Dans les années 1970, les machines à chaussettes double aiguille Z72 et Z76 sont successivement fabriquées. Shanghai Knitting Machinery II L'usine (appelée deuxième usine de machines) a produit avec succès la première machine à tricoter chaîne nationale et une machine à tricoter trame jacquard triangulaire de grand diamètre de 20 pouces et 30 pouces pour combler le vide national. En avril 1970, l'industrie a créé la Knitting Third Machinery Factory pour fabriquer la machine à coudre surjeteuse à grande vitesse GN2-1 (la voiture à coque), et l'ensemble de la surjeteuse à l'ancienne de l'industrie a été complètement mise à jour. Après plus de 10 ans, elle a complété l'innovation de la manivelle, semi-automatique, entièrement automatique à la commande de groupe électronique.

Au cours des années 1970, l’industrie de la sous-vêtements a commencé à développer des produits en fibres chimiques. En 1971, l'usine Jinglun a produit à l'essai des produits en coton, en coton, en coton nitrile et en polyester-coton et a ouvert le premier des produits en fibres chimiques pour vêtements d'extérieur tricotés de Shanghai. Ensuite, l'usine de chaussettes Hongxing a été changée en usine de tricot 20, l'usine de chaussettes Qingsheng a été changée en usine de tricot 19, tissant du tricot de trame et du tissu en polyester tricoté ; et la première usine de chaussettes a ajouté une ligne de production de polyester.

Au cours du « sixième plan quinquennal » et du « septième plan quinquennal » du pays, l'investissement total dans la transformation technologique de l'industrie du tricot de Shanghai s'est élevé à 409 millions de RMB (dont 37,88 millions de dollars américains) et 181 projets ont été investis. La superficie des nouvelles usines de construction de l'ensemble de l'industrie est de 300 000 mètres carrés, soit 60 % de la superficie totale de construction de l'ensemble de l'industrie. Un grand nombre d'immeubles de grande hauteur et de vastes immeubles de bureaux ont été achevés, ce qui a transformé le lot original d'allées et d'ateliers. La plupart des rejets d'eaux usées des usines répondent aux normes nationales d'émission. L'investissement total de la quinzième usine de tissage de Shanghai s'élève à plus de 10 millions de yuans. Durant cette période, 237 machines à chaussettes étrangères et près de 1 500 équipements auxiliaires ont été introduits. L'industrie a atteint le niveau international d'équipement d'accueil au début des années 1980, passant de 5 % à 18 %. Dans le même temps, l'industrie est devenue autonome, produisant 4 469 ensembles de machines à chaussettes (dont plus de 3 000 unités dans l'industrie) à travers trois usines de machines et modernisant 50 % des anciens équipements de l'industrie dans les années 30 et 40. . Grâce à la transformation de l'ancienne usine, l'industrie élargit le marché d'exportation, élargit la production de bas en nylon, de chaussettes fines, de chaussettes serviettes et de chaussettes pour enfants, et comprime la variété de chaussettes unies en soie et nylon élastiques.